The Social Dilemma (Netflix)

En ce moment, j’aime de plus en plus regarder des documentaires en tout genre ! Et je devais absolument regarder The Social Dilemma, de Jeff Orlowski sorti sur Netflix sous le titre Derrière nos écrans de fumée. Pourquoi me direz-vous? Tout simplement parce que le sujet me parle. Je suis en effet en pleine « détox » digitale depuis le dernier confinement. Ce documentaire est donc en plein dans mon état d’esprit du moment !

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Dans ce documentaire inédit, des spécialistes, des militants et surtout des anciens employés des géants de la technologie nous ouvrent les yeux sur la vérité cachée derrière nos écrans. Ils sonnent l’alarme concernant certaines de leurs inventions, qui provoquent des addictions et déstabilisent les démocraties.

 Les réseaux sociaux ont profondément changé notre société…et surtout notre comportement ! Certains aspects sont indéniablement positifs: on a pu retrouver des personnes disparues, trouver des donneurs d’organes, rapprocher des familles éclatées autours du monde. Mais toute téchnologie a ses failles et celles des réseaux sociaux est particulièrement perverse !

Je n’ai pas grandi avec twitter, Tik Tok ou Instagram. Et je n’ai Facebook que depuis à peine deux ans. Pourtant, je comprends très bien le cri d’alarme de ces spécialistes ! Malgrès son côté mélo-dramatique, ce film a au moins un mérite: celui de nous inciter à avoir plus de discernement. Car le vrai problème, ce ne sont pas les plateformes mais la façon dont elles sont utilisées: fake news à tout va, publicité à outrance,  algorithmes de plus en plus intelligents, cyber-harcèlement , stress, dépression et surtout manipulation passive… Sans parler de l’addiction numérique qui prend de plus en plus d’ampleur, notamment chez les jeunes. 

On peut, de ce fait, trouver ce film un peu trop « pathos » ou « alarmiste », notamment avec la partie « fiction », qui nous montre une famille qui se brise peu à peu à cause d’un emploi maladif du téléphone… mais personnellement, je ne l’ai même pas trouvée exagérée. Comme je l’ai dit, j’ai moi même traversé une période sans écran et j’ai été sidérée par la sensation de « manque » ! Exactement comme si j’arrêtais de fumer ! 

J’ai trouvé admirable que ce documentaire donne la parole à des professionnels de ces plateformes que nous utilisons si souvent. C’est justement ce qui donne la pertinence au film et d’un certain point de vue, le dédramatise un peu sur la fin.

Car le message est plus positif que l’on pourrait le croire: Gardons notre libre-arbitre et ne laissons pas un outil nous utiliser. 

La vie en couleur (Netflix)

Je ne sais pas pour vous, mais mon rapport à la Nature a beaucoup évolué depuis deux ans ! Je délaisse de plus en plus la ville pour les parcs et les forêts. Et je découvre pleins de documentaires tous plus passionnants les uns que les autres ! Aujourd’hui, je vous invite à en découvrir un particulièrement original !

Résumé:

Grâce à une technologie innovante, David Attenborough nous invite à explorer la nature sous un angle nouveau et montre comment les animaux utilisent la couleur pour survivre et prospérer.

Mon avis :

Voici très certainement le documentaire le plus original et innovant que j’ai pu voir ! Quelle place a la couleur dans l’évolution? Pour les humains (entre eux, j’entends), elle est, pour beaucoup, devenue une sorte de particularité esthétique, un plaisir. Mais pour le règne animal et végétal, c’est beaucoup plus vaste que ça !

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Certains animaux l’utilisent pour se camoufler dans leur environnement; d’autres au contraire, montrent fièrement leurs couleurs pour se reproduire… ou alerter d’un danger. Ou encore, c’est une conséquence de leur alimentation (les flamants roses le sont à cause des crevettes qu’ils mangent)… Mais ça, c’est la vision que nous autres humains avons pu jusque là observer !

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Sir David Attenborough, grand rédacteur scientifique et naturaliste britannique nous propose de nous mettre dans la peau de ces animaux, de voir le monde avec leur yeux ! Et ce, par le biais de nouvelles caméras particulièrement innovantes !

Ainsi les fleurs possèdent des nuances de couleurs…visibles uniquement en infra-rouges ! Nuance qui montre le chemin aux insectes jusqu’au nectar ! 

On apprend aussi que les zèbres luttent contre les prédateurs à leur manière grâce…à leurs rayures !!! Si, si ! Et que certaines proies ne voient pas leur prédateurs… par daltonisme !

J’ai pris beaucoup de plaisir à voir ce documentaire ! Chaque animal est passionnant, les images sont superbes et j’ai trouvé très intéressant ce nouveau regard sur la nature ! La musique n’est pas en reste et donne un sentiment de joie et d’émerveillement !

À découvrir pour les amateurs de thèmes originaux ! Je vous mets la bande-annonce ici 

Artiste du jour : Alfons Mucha

Hello à tous ! Aujourd’hui, place à un artiste que j’admire depuis des années ! Un peut d’Art et de Beauté dans ce monde ! Ses affiches sont connues dans le monde entier et j’adore les couleurs chaleureuses qu’il utilise !

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Alfons Maria Mucha, né à Ivančice (ville de Moravie qui faisait alors partie de l‘Empire d’Autriche, aujourd’hui se trouve en République tchèque) le 24 juillet 1860 et mort à Prague le 14 juillet 1939 (à 78 ans), est un affichiste, un illustrateur, un graphiste, un peintre, architecte d’intérieur et décorateur tchèque, fer-de-lance du style Art nouveau.

Il est le deuxième enfant dOndrej Mucha, huissier de justice. Son aptitude au chant lui permet de poursuivre son éducation dans la capitale morave, Brno où il obtient une place dans une chorale de l’église Saint-Pierre.

À l’occasion d’un voyage, il rencontre le dernier représentant de la peinture sacrale baroque, le vieux maître Umlauf, dont les fresques que l’on pouvait voir dans l’église d’Usti et surtout dans l’église Saint-Ignace de Prague ont profondément marqué Mucha.

En 1875, il revient dans sa ville natale où son père lui trouve un emploi de greffier au tribunal mais, trois ans plus tard, Alfons Mucha pose sa candidature pour entrer à l‘Académie des beaux-arts de Prague. Sa demande est rejetée avec la recommandation : « Choisissez une autre profession où vous serez plus utile. »

Après avoir réalisé quelques travaux décoratifs en Moravie (essentiellement des décors de théâtre), il émigre en 1879 à Vienne afin de travailler pour la plus grande entreprise de décors de théâtre de la ville, Kautsky-Brioschi-Burghardt, tout en continuant sa formation artistique au cours de laquelle il fut l’élève de Hans Makart. Il se rend à Mikulov où il gagne sa vie comme portraitiste.

Il y rencontre le comte Khuen Belasi, plus gros propriétaire de la région, qui lui passe une commande pour la décoration de son château à Emmahof. En 1881 le Ringtheater, le meilleur client de son employeur, brûle dans un incendie où 500 personnes trouvent la mort. Mucha, en sa qualité de plus jeune employé, est congédié. Il revient en Moravie et réalise des décorations et des portraits en indépendant. Mucha travaille alors pour Egon Khuen-Belasi, frère du comte Karl, à la décoration du château de Candegg situé dans les Dolomites. En 1885, parrainé et financé par E. Khuen-Belasi, il commence ses études à l’Académie de Munich ; il compte parmi ses professeurs Von Herterich et Lofftzen.

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Mucha se rend ensuite à Paris en 1887 pour continuer ses études au sein de l’Académie Julian et de l’Académie Colarossi, tout en produisant une revue, en réalisant des affiches publicitaires et en illustrant des livres, des catalogues ou des calendriers. « Pour un graphiste habile, il n’était pas trop difficile à s’employer dans un Paris à l’activité commerciale stimulée par une nouvelle Exposition Universelle — celle de 1889 ». En 1888, il quitte l’Académie Julian et devient étudiant à l’Académie Colarossi. L’année suivante, le parrainage du comte prend fin. Il quitte l’Académie Colarossi et cherche du travail comme illustrateur. Les qualités techniques et artistiques de Mucha finissent par être reconnues et il est embauché par la première grande maison d’édition parisienne Armand Colin.

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Il commence à illustrer un magazine de théâtre, dans lequel paraît son premier dessin de Sarah Bernhardt en Cléopâtre. Peu après son arrivée à Paris, conseillé par son camarade de l’Académie Colarossi, Wladyslaw Slewinski, Mucha s’installe de 1890 à 1893 au-dessus d’un petit restaurant (on disait « une crèmerie ») situé rue de la Grande-Chaumière à côté de l’académie. Avec Slewinki, Mucha décore la façade de ce petit restaurant tenu alors par une certaine Charlotte Caron. Cette décoration est aujourd’hui disparue.

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Seul artiste disponible chez son imprimeur quand Sarah Bernhardt le sollicite lepour réaliser l’affiche publicitaire de Gismonda, la pièce qu’elle doit jouer au Théâtre de la Renaissance, Mucha relève le défi et dès le matin du , Paris se couvre de grandes affiches qui ont un si vif succès que des amateurs n’hésitent pas à les découper. Après cette réussite Sarah Bernhardt l’engage pour un contrat de 6 ans. Musha impose alors son style avec des affiches pour le théâtre, notamment Lorenzaccio, La Dame au camélia et Hamlet ou encore Médée.(voir images ci-dessous)

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Le « style Mucha » est né. En 1899, le gouvernement autrichien lui propose de concevoirla décoration intérieure du pavillon de Bosnie-Herzégovie, qui deviendra en 1900 une partie de l’Exposition universelle de Paris.

Et le succès est tel qu’il reçoit la médaille d’argent !

il est également fait chevalier de la Légion d’honneur. L’année suivante, Mucha conçoit la bijouterie Fouquet au 6, de la rue Royale (la boutique fut démontée en 1923 et est aujourd’hui présentée reconstituée au musée Carnavalet).Dès ses débuts à Paris, Mucha photographie ses modèles. Il se constitue ainsi un important catalogue qu’il utilise ensuite pour réaliser ses illustrations. Ce travail sur photo explique la ressemblance de certains de ses dessins bien qu’ils aient été réalisés à plusieurs années d’intervalle. Son catalogue photographique constitue par ailleurs un intéressant témoignage sur les femmes de son époque ! Mucha commence à travailler sur le projet de décoration de la joaillerie Fouquet, un des joyaux de la décoration intérieure de style Art nouveau.

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Puis, après son mariage avec Maruska Chytilova en 1906, il part 3 ans aux États unis où il essaie de gagner sa vie en tant que portraitiste. Mais, s’il est bien accueilli, le pays adhère beaucoup moins à son art. Il se tournera à nouveau vers l’affiche et l’illustration pour reconstituer ses fonds dépensés rapidement pour financer son installation aux États-Unis, mais aussi perdus à « aider » financièrement certains « amis » dans le besoin. Il réalisera aussi la décoration du théâtre germanique de New York (disparu).

C’est sur sa proposition que le Comité des Slaves fut créé à New York.

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Mais plutôt que de retourner à Paris, il choisit de renouer avec son pays d’origine par sa rencontre avec Charles R. Crane, un riche homme d’affaire, qui lui donnera les fonds nécessaires à son ultime grand projet

Sa dernière oeuvre sera se composée de 20 peintures qui célèbrent plus de 1 000 ans d’histoire du peuple slave. son nom: Slave Epic. Terminée au printemps 1928, ces peintures seront cachées des  fascistes.

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Il décore le Théâtre national, la Maison municipale, la cathédrale Saint-Guy, ainsi que d’autres monuments de la ville.

Lorsque la Tchécoslovaquie obtient son indépendance après la Première Guerre mondiale, il conçoit les nouveaux timbres-poste (dont la première émission du Château de Prague), billets de banque et autres documents officiels pour la nouvelle nation.

En 1938, Mucha contracte une pneumonie, sa santé se détériore.

Le 15 mars 1939, les troupes allemandes font leur entrée dans Prague. En tant que personnalité Tchèque, dévoué à sa nation et défenseur de l’identité Slave, il est rapidement arrêté et interrogé par la Gestapo qui s’intéresse également à lui du fait de son appartenance à la franc-maçonnerie. Relâché pour cause de santé fragile, il meurt des suites de sa pneumonie quelque temps après, à Prague, le , à l’âge de 78 ans. Son corps est jeté à la fosse commune. Une plaque commémorative lui est dédiée au cimetière des Grands Hommes de Prague.

Son fils, Jiří Mucha, un auteur qui a beaucoup écrit sur son père, a souvent attiré l’attention sur son travail.

De nos jours Mucha est  toujours une souce d’inspiration ! Il suffit d’aller sur déviantArt pour voir à quel point les fans sont toujours nombreux ! Voici une sélection de mes préférés: Star Wars, Dr Who, Miss Fisher et même.. la dernière licorne !!!

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Un artiste incarnant toute une époque, qui prônait un art libre et sublimait les femmes dans ses portraits !

Artiste du jour: Aeppol

Hello à tous ! Aujourd’hui, une nouvelle découverte d’artiste ! Ça faisait longtemps ! Printemps oblige, place à la nature, l’enfance et beaucoup de tendresse !

Aeppol est une artiste sud-coréenne originaire de Séoul.

Son univers est à la fois naïf et doux. On y voit une petite fille, qui profite des joies simples de la vie: lire, jouer avec ses poupées, cueillir des fleurs, se promener en forêt.  La nature y est luxuriante !  

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Bien que l’artiste soit asiatique, on n’y voit aucune influence manga ou de costumes orientalisé. J’ai eu l’impression de voir des illustrations de la comtesse de Ségur, avec ces robes à frou-frou, les peluches et la douceur qui se dégagent de ces illustrations.

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Je ne sais pas si ses livres existent en traduction française, mais j’adore en tout cas ! Beaucoup de tendresse, parfait pour des contes pour enfants !

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Lire sur écran ou sur papier: ce faux débat

Comme vous le savez, j’adore lire toute sorte de choses ! Si j’ai longtemps lu sur papier, j’ai peu à peu intégré le support numérique dans mes habitudes !

Oui, je l’avoue, j’ai fait partie des rats de bibliothèques qui mettent les livres sur un piédestal ! Quelle erreur ! L’important c’est l’histoire et non le support ! J’ai donc ouvert mes horizons.

Ça a commencé avec les fanfictions. Quel régal de voir l’immagination des fans s’enflammer pour leurs persos préférés ! Et puis, j’ai voulu me cultiver davantage sur les Bd et les mangas en ligne : et j’ai découvert les webtoons !

Les webtoons sont des mangas/BDs à lire en ligne… totalement gratuitement ! Rien que ça, je trouve que c’est génial ! Et il y en a pour tout les goûts ! De la romance au thriller, fantastique ou horreur. Voici trois webtoons que je suis actuellement:

Le premier que j’ai découvert c’est Tradition Olympus de Rachel Smythe. C’est une magnifique remodernisation des Dieux de l’Olympe ! Les graphismes sont élégants, colorés, et les persos incroyablement expressifs ! Franchement, j’adore !

Dans un registre plus cartoon, Plutôt mourir que partager de Lila, raconte la vie de Minouche, une jeune femme chamboulée par des êtres bizarroïdes venus du futur… À la fois fun, triste et grinçant, plus que 4 épisodes et je découvre la fin ! Les dialogues sont juste excellents ! 

Et enfin, « Porte-Bonheur » de Tacmela, raconte comment Clément, un jeune lycéen, fait face à sa Dépression…au sens litéral du terme ! Une histoire assez mélancolique, mais quiconque est passé par se stade s’y retrouvera. J’aime bien l’idée de discuter avec sa part d’ombre. L’histoire est en cours depuis peu et j’espère vraiment qu’elle aboutira !

Les dessins sont aussi une jolie façon de raconter une histoire ! En plus, je trouve que c’est l’occasion de découvrir de nouveaux auteurs/illustrateurs, autrement que dans une librairie ! 

Je pense que support numérique n’a non seulement pas tué la lecture mais l’a rendue plus vaste, ludique et surtout amusante.

Pour moi le débat Papier/écran, c’est aussi stérile que nos ancêtres qui pensaient que le cinéma allait tuer la culture et les livres.  (coucou Guillaume Durand  ! )

Après tout, j’ai découvert Orgeuil & Préjugés grâce à la série de la BBC et Le journal de Bridget Jones. Récemment, c’est Anne et la maison aux pignons verts qui a été redécouvert grâce à Netflix !

On a le droit aussi de ne pas aimer les classiques ! Voire de ne pas aimer lire tout court ! La lecture doit être avant tout un plaisir. 

Alors, lisez/visionnez ce que vous voulez. Découvrez de nouvelles histoires, que ce soit pour vous cultiver, vous détendre, vous amuser  ou vous inspirer ! 

Artiste du jour: Éric Bruni

Je continue ma découverte des peintres, tant anciens que contemporains. Et en ce moment, j’ai envie, de couleurs, de chaleur, de bonne humeur. Et en cherchant sur le net… je suis tombé sur cet artiste !

Né en 1968 à Valenciennes, Éric Bruni peint depuis plus de trente ans ! Champs de fleurs, natures mortes, mer, portraits divers,  il met beaucoup de douceur et de gaité dans ses peintures ! J’adore son style éclectique et chaleureux, avec des couleurs éclatantes ! Si sa couleur de prédilection est le Bleu, je suis, pour ma part, très sensible à la façon dont il utilise le Rouge ! Voici quelqus unes de ses oeuvres, que j’aime beaucoup !

 

Site officiel: https://www.bruni-gallery.com/index.html

Artiste du jour: Waterhouse

Hello à tous ! Aujourd’hui, je peaufine ma rubrique Pinceau avec davantage d’Art, de peintres notamment ! J’inaugure la rubrique avec un grand artiste britannique !

John William Waterhouse est né le 6 avril à Rome en 1849 .Il est le fils de William et Isabela Waterhouse, tous deux également artistes. Il répertorié dans le registre artistique proche du préRaphaélisme : un univers à la fois onirique et d’une certaine mélancolie. Je posterai un lien sur ce courant artistique

John est âgé de cinq ans lorsque la famille déménage à Londres (South Kensington), à proximité du Victoria and Albert Museum. Son père lui enseigne la peinture et John l’assiste dans son studio tout en copiant des oeuvres de la National Gallery et en suivant des cours à la South Kensington School, jusqu’à ce qu’il soit admis à la Royal Academy en 1870.

Il expose dès l’année 1872à la Society of British Artists et dès 1874 à la Royal Academy. De 1874 aux années 1880, il voyage régulièrement  en Italie. Aux début des années 1870, son travail est centré sur des scènes de l’histoire ancienne ou classique, dans un style similaire à celui dAlma-Tadema Lawrence, usant d’une vague plus dramatique cependant, à l’exemple de La Consultation des Oracles (ci-dessus), peint en 1882.

il est donc connu pour ses tableaux inspirés de la mythologie et de la littérature ou encore les légendes arthuriennes. Sa peinture la plus célèbre est The Lady of Shalott, Cette œuvre est la représentation d’une scène tirée du poème du même nom écrit par Lord Alfred Tennyson en 1832.

Nymphes, Naïades, ondines, ses peintures sont donc souvent féminines et tragiques. Ophélie, personnage de Hamlet de William Shakespeare a une place assez particulière. il en aura fait plusieurs toiles

Il a peint cependant quelques hommes également: Orphée, Narcisse, Ulysse et autres chevalier. Il a aussi, plus étonnant peint la Mort se reposant à côté du Sommeil, peinture assez méconnue, qui m’a le plus touchée dans son symbole, inspirée des divinités grecques Hypnos et Thanatos ! C’est aussi sa toute première oeuvre !

En 1883, John se marie à Esther Kenworthy, la fille d’un maître d’école d’Eling, qui exposa ses propres peintures florales à la Royal Academy notamment : ensemble, il n’ont pas eu d’enfants.

En 1895, il est élevé au statut d’académicien : il enseigne à la St John’s Wood Art School, joint le St John’s Wood Art Club et sert à la Royal Academy Council. Il est également connu pour avoir cotoyé les artistes du Pré-Raphaelisme, qui ont inspiré son oeuvre par la suite, dès le milieu du XIXe siècle.

Il meurt le 10 Février 1917 à Londres.

Voilà ! j’espère que cette petite rubrique artistique vous aura plue ! 

 

 

coup de coeur humour: Michaël Hirsch

Hello à tous ! Aujourd’hui, je voudrais vous parler d’un coup de coeur…français, ce qui est déjà assez rare, mais en plus en humour !

J’ai découvert Micheal Hirsch l’année dernière dans un spectacle intitulé « Pourquoi? »: Révélation totale ! Un humour tellement fin que l’on ne le comprend pas toujours du premier coup ! Ce jeune homme est un digne héritier de Raymond Devos. Il a la même poésie, les mêmes interrogations naïves. Dans ce spectacle, il nous propose toute une introspection sur la vie, de l’âge tendre à la vieillesse Une vraie petite perle ! J’ai tout simplement adoré ! Je vous mets la bande-annonce ci-dessous :

Michaël Hirsch, né le à Metz, est un comédien, humoriste, auteur et chroniqueur français. Il a aussi une chaîne youtube !

Depuis 2017, il tient une chronique hebdomadaire dans la matinale d’Europe 1 intitulée Lettre ou ne pas Lettre. Ces chroniques existent en livre aux éditions Plon et c’est un régal à lire ! 

Depuis l’année dernière, il fait un nouveau spectacle intitulé « Je pionce donc je suis » où il raconte l’histoire d’Isidore Beaupieu. Ou comment révolutionner le monde…grâce au sommeil et les rêves ! Tout un programme !

C’est en tout cas une belle surprise et je vous invite à le découvrir, surtout si vous en avez marre de l’humour gras ou noir !

Site officiel

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La méthode Silva: le développement personnel autrement

On ne compte plus les différentes méthodes de développement personnel, visant à améliorer notre vie. Certaines sont efficaces, d’autres, plus ambiguë.

Et j’ai découvert récemment une méthode qui m’a beaucoup parlé : Le Mind Control, aussi appelé la méthode Silva. Cette méthode est malheureusement encore méconnue en France. Pourtant, elle est reconnue est enseignée dans de nombreux pays: États-Unis, Canada, Belgique, Suisse…

Tout est parti d’un homme: José Silva, un ancien chef d’entreprise d’origine mexicaine, qui a voulu s’ouvrir à d’autres moyens de développement pour nos facultés mentales.

Pendant 22 ans, il a étudié la psychologie, l’hypnose, le yoga, la guérison psychique, les religions, en gros, toutes les méthodes pouvant aider à comprendre comment fonctionne notre mental.

Et c’est dans le cadre de son ancien travail, qu’il a eu un outil qui l’a aider à lancer sa recherche: l’électroencéphalogramme qui mesure la fréquence des ondes cérébrales, et notamment les ondes Alphasprimordiales dans la gestion de la mémoire et du sommeil.

La méditation est la première étape: par cette relaxation, la personne peut garder le contrôle de ses pensées et de ses émotions. La pleine conscience avant l’heure. En effet,  en passant « au niveau Alpha », la personne atteint un niveau de plénitude équivalent à une sieste de plusieurs heures !

C’est une « méditation active » qui aide à se clarifier les idées et la circulation des énergies.

On ne le dit pas assez: l’occident a longtemps séparé le mental et le physique, le rationnel et le rêve. Tout cela circule pourtant ensemble dans une  seule et même personne ! Tout est énergie en fait ! Sinon, comment les neurones pourraient se connecter? 

La méthode Silva aide à harmoniser cette circulation intérieure. Et se sert d’outils simples qui ont déjà prouvé leur efficacité: la visualisation, la pensée positive, le « ici et maintenant ». Et plus étonnant, l’imagination contrôlée !

À la différence d’autres méthodes, la visualisation est portée sur un but précis (que ce soit pour une perte de poids, une simple migraine ou encore l’insomnie). En se visualisant « aller mieux », on le projette dans la réalité. On croit à sa guérison … et ont finit par guérir !

Cet aspect « miraculeux » de la méthode a irrité et troublé bon nombre de médecins traditionalistes, certains allant même jusqu’à qualifier cette méthode Siva de nouvelle secteComme quoi, l’inconnu provoque toujours une réaction de rejet au départ !

Pour ma part, je connais encore mal la méthode, mais j’ai été frappée par le pragmatisme de Silva. Il ne se proclame pas gourou ou autre « visionnaire mystique ». Son unique but est le Bien-Être et l’acceptation de notre Unité: psychique, physique et énergétique. 

J’ai commencé la méditation et déjà, je note un changement considérable. Moins de tensions physiques, je respire mieux, j’apprends à trouver ma place dans l’espace. J’ai, en effet, longtemps eu l’impression de gêner, de « prendre l’air » des autres !

Mais surtout, le « contrôle de moi-même » prend un tout autre sens aujourd’hui: Je contrôle mon esprit sans le saturer de pensées, ne me servant de mon mental que pour « faire ».  Pour le reste, je « ressens » et surtout je « m’écoute ».

Je ne prétends pas que la méthode Silva soit miraculeuse. C’est à chacun de juger ce qui lui convient.  Mais c’est un outil qui a fait ses preuves et que je découvre avec enthousiasme et émerveillement.

Site officiel de la méthode Silva en France.

Mes coups de coeur du moment

Tout d’abord, un peu de gourmandise : J’ai été à un mariage cet été, et je voulais faire un petit coup de pub: plutôt que les traditionnelles Dragées, optez pour les Tommes de Savoie en chocolat ! Original et délicieux !

Toujours en alimentaire mais côté beauté: des recettes de gommages au marc de café ! Je n’y avais pas pensé mais bonne idée ! Je vais évitez l’huile d’olive par contre ^^

Côté Youtubeurs je découvre Amixem et Trash depuis peu ! L’un me fait découvrir les curiosités nippones, les jeux en réalité virtuelle et surtout l’un des prof d’histoire les plus cool depuis Jamy ! Et l’autre comble mon côté otaku/fan de l’Espace avec des vidéos aussi intéressantes que ludiques !

Mais mon petit chouchou du moment c’est lui: Et tout le monde s’en fout, une série youtube créé par Fabrice de Boni et Axel Lattuada; pédagogique et arrosé d’une bonne dose d’ironie, tout en abordant des thèmes d’actualité comme les femmes, la Guerre, l’écologie ect … Deux saisons au compteur déjà et j’adore toujours autant!

Après ma PAL, je me suis concocté une petite liste de films/séries à voir ! Si vous avez des propositions, je suis aussi preneuse !

Et vous que regardez-vous?

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