Coup de coeur: Arlo, le garçon alligator

Hello à tous ! Aujourd’hui, place à une découverte Netflix ! Ça fait longtemps que je n’ai pas regardé d’aussi belle animation: Arlo le garçon alligator de Ryan Crego.

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Résumé:

Né moitié humain, moitié-alligator, Arlo n’arrive pas à trouver sa place dans les marécages. Lorsqu’il apprend qu’il vient de New York, il décide de s’y rendre à la recherche de son père disparu. Il se lie d’amitié avec un groupe de personnages farfelus qui vont l’aider dans son entreprise.

Bande annonce

Mon avis: 

Quelle superbe découverte ! Arlo est un jeune garçon plein de peps et d’optimisme. Il adore chanter, courir partout et ne demande qu’à s’épanouir et profiter de la vie. Mais problème : il est à moitié alligator et ne connaît rien de ses origines. Il a été recueilli tel Moïse dans un panier dans les marécages. Sa mère adoptive Edmée est gentille mais elle voit bien que la partie humaine prend plus de place que l’animale. 

Lorsqu’ Edmée lui apprend que son père vit à New York, c’est un rêve qui se réalise ! En effet, Arlo a toujours aimé espionner les humains qui viennent en bateau . C’est de là que lui vient son amour de la musique. Et comme il est vu comme un extraterrestre par les autres animaux, il souffre beaucoup de sa différence même s’il tient à garder constamment un masque souriant. 

J’ai adoré la façon dont la quête d’Arlo se construit. Une quête universelle en fait: celle de trouver sa place en ce monde. Durant son périple, notre héro va faire la connaissance de Bertie, une dame géante au physique de lutteuse,  avec qui il va vivre des aventures trépidantes et se faire de nouveaux camarades.

Le côté comédie musicale ne m’a pas gênée, car il est bien exploité pour un public jeune. C’est entraînant, à la fois groovy et moderne.  Mais mon vrai coup de coeur c’est l’esthétique de cette animation ! Les couleurs sont vibrantes et chaleureuses, entre La princesse et la grenouille de Disney et Gravity Falls !

Les personnages sont attachants et rigolos. Et certains passages musicaux très poétiques ! Mon seul bémol c’est que le personnage de la mère d’Arlo n’a pas du tout été exploité ! Dommage, j’aurai bien voulu en savoir plus !

Une animation qui swingue et donne la pêche ! 

Malimode

Comme vous le savez, le suis le travail de Souillon, l’auteur de Maliki depuis ses débuts. J’adore l’univers à la fois mignon et sarcastique de cette BD. Alors quand j’ai vu qu’il y avait une nouvelle rubrique où l’on peut créer son propre personnage… Ben j’ai craqué !

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Vous aussi, n’hésitez pas à vous amuser dans cette rubrique ! c’est très fun à faire !

https://malimode.maliki.com

Street Art végétal

J’avais fait un article sur le Land ArtMais j’aime aussi l’art des villes !

Quand les fresques murales rencontre la végétation, ça donne une ville plus joyeuse et colorée… tout autour du monde ! Certains artistes jouent carément avec l’environnement alentour pour créer des effets en trompe-l’oeil absolument géniaux! Voici un florilège de petites trouvailles, glanées ici et là sur Pinterest ! 

Un peu de couleur et de poésie pour démarrer l’année 2021 en douceur ! 

Vicky Rawlins: le land Art à son apogée

Pinterest est une véritable mine d’or pour découvrir des artistes hors du commun ! En grande fan de nature et plus particulièrement du Land Art, (voir article) je suis tombée sur une petite perle !

Vicki Rawlins est une fleuriste qui vit à Chicago. Dans un travail d’une finesse et d’une poésie hors pair, elle réalise de somptueux portraits végétaux… qu’elle prend ensuite en photo ! Le résultat est juste bluffant Que ce soit des scènes de la vie de tout les jours…

 

où de superbes portraits de femmes ,rien n’est fixé de quelques manière que ce soit. Du land art à son apogée ! Dans sa fiche de présentation, elle dit que cet art est au départ thérapeutique pour elle et qu’elle veut montrer tout ce que l’on peut faire avec « de l’éphémère » !

Une superbe artiste que je vous invite à découvrir sur le site  Sister Golden et bien évidemment Pinterest !

 

Voyage vers la Lune

Hello à tous ! En attendant mon prochain défi pour Les fêtes, j’ai voulu voir un petif film d’animation Netflix qui m’avait l’air plutôt original: Voyage vers la Lune, réalisé par Glen Keane et John Kahrs. On leur doit notamment l’excellent Raiponce de Disney et (pour John Kahr) l’émouvant court-métrage Paperman.

Résumé:

Aussi brillante que passionnée de science, une jeune fille déterminée construit une fusée pour se rendre sur la lune et prouver l’existence d’une légendaire déesse lunaire ! C’est alors qu’elle se retrouve embarquée dans une quête inattendue et qu’elle découvre un univers féerique peuplé de créatures fantastiques.

Mon avis:

Frustrant ! Ce film est frustrant ! Cette animation avait tout pour me plaire !

Fei Fei a perdu sa maman et ne supporte pas que son père ait trouvé une nouvelle compagne. Encore moins l’arrivée d’un « petit frère » turbulent et bien trop joyeux. Loin d’être heureuse pour son papa, Fei-Fei éprouve beaucoup de chagrin. Elle a l’impression d’être trahie. Aussi, elle décide de saisir le prétexte d’une légende locale pour empêcher son père de se remarier. Mais évidemment, rien ne va se passer comme prévu !

Ce film a indéniablement de nombreux atouts: Un univers coloré et poétique, des thèmes modernes comme la famille recomposée, le deuil et les souvenirs. C’est aussi la découverte d’une jolie légende chinoise, celle de Chang’E, la déesse de la Lune.

J’ai beaucoup aimé cette légende où une superbe princesse exilée sur la Lune, se languit de son amour perdu. Chang’E est un personnage, plus lunatique que lunaire, qui m’a fait penser à la Reine des Neiges ( la vraie, pas celle de Disney ). Un coeur tellement rongé de solitude et de chagrin, qu’il se coupe du monde et de ses proches.

Le face-à-face entre Chang’E et Fei-Fei est, en cela, très intéressant. Il y a d’abord la Joie de découvrir que la légende est vraie. Mais surtout la mise en miroir de sa propre Solitude, forgée dans le Chagrin…mais aussi la peur de l’oubli.

Fei-Fei doit non seulement affronter le deuil de sa mère mais aussi accepter l’arrivée d’une nouvelle famille qui ne demande qu’à la connaître. Pour ça, j’ai trouvé l’histoire intelligente et d’une belle modernité. 

Bref, l’histoire a, comme je l’ai dit, de bons filons à exploiter.

Mais problème: Ça chante quasiment tout le temps, plus que dans un Disney ! Et ça finit par gonfler à force !

Certains personnages auraient pu être mieux développés comme le père de Fei-Fei. Leur relation est très peu montrée au final, ce qui est dommage ! De même pour la (future) belle-mère, qui me semblait bien sympathique. Mais il y a tout de même le petit frère, plein d’énergie et une adorable lapine ! 

Bref, les chansons sont non seulement trop présentes… mais manquent cruellement d’émotion ! J’imaginais une Lune moins…disco dans son ambiance, un monde à la Princesse Kaguya, onirique et subtil avec des sons plus… asiatiques surtout !

Le contraste entre la musique pop et l’histoire aurait pu être fun… mais ça m’a vite gonflée, en fait ! J’ai trouvé que ça gâchait une belle histoire. 

Une petite déception, donc, car cette animation avait de bonnes bases et un très bel univers graphique !

Le Grimoire d’Arkandias (2014)

La France manque cruellement de films fantastiques pour la jeunesse. Aussi j’ai voulu donner sa chance au Grimoire d’Arkandias, l’adaptation du livre d’Éric Boisset réalisé par Alexandre Castagnetti et Julien Simonet.

Résumé:

Dans le village de Ronenval, tout semble normal. Trop normal pour Théo qui ne rêve que d’une chose : échapper à son destin de boloss. Un jour, il déniche à la bibliothèque un livre de magie qui contient les secrets de fabrication d’une bague d’invisibilité. Avec l’aide de ses meilleurs amis Bonnav et Laura, il décide de fabriquer cette bague. Surprise : Théo disparaît pour de bon ! Victime de trois sorcières, il reste bloqué dans l’invisibilité…Il se lance alors dans une course effrénée contre le temps. Arkandias, un étrange individu toujours à leurs trousses, est peut être le seul à pouvoir les aider.

Mon avis:

Sans être le film du siècle, j’ai pu apprécier cette adaptation.

Théo est un garçon devenu aquaphobe depuis la mort de son père, sauveteur. Pour couronner le tout il n’a pas vraiment la côte à l’école et sa mère a été licenciée, suite à une erreur judiciaire pour le vol d’un tableau. Un jour, dans la bibliothèque du village, il découvre un étrange livre de magie révélant les secrets de fabrication d’une bague d’invisibilité.

Pour Théo, c’est l’occasion de reprendre le tableau et d’innocenter sa mère. Mais tout se complique. Si l’expérience de l’invisibilité est réussie, il ne peut plus réapparaître car une voleuse lui a pris sa bague ! Seule lumière au bout du tunnel: le sorcier Arkandias, qui est à l’origine le la formule de la bague.

J’étais sceptique quant à Christian Clavier en vieux sorcier… et bien bonne surprise ! Il a bien su tenir ce rôle à la fois bourru, mystérieux et attachant. À l’inverse d’Astérix où je l’avais détesté, il nous fait là un vrai personnage, pas un sorcier-Jaquouille !

Les enfants jouent de façon correcte, à part peut-être Pauline Brisy qui fait Laura, l’ado en pleine « crise ». Je l’ai trouvée bien fade pour une rebelle. En revanche, je ne sais plus le nom de l’acteur qui jouait la brute épaisse de l’école mais là, belle performance ! J’ai vraiment eu envie de l’étriper ! 

Bien vu aussi de mettre Isabelle Nanti dans le rôle de la voleuse de tableau ! Elle est terrifiante ! Ça change de la voir en méchante et ça lui va plutôt bien.

Les trois voleuses m’ont fait penser aux cambrioleurs de Maman j’ai raté l’avion dans leur bêtise et leur cupidité. Rien de bien nouveau. Mais ce n’est pas ce qui m’a le plus déçue.

Le film aurait pu être beaucoup plus noir au vu de ses ingrédients: brimades scolaires, difficultés financières, magie puissante. L’univers des livres était plus sombre et c’est dommage de l’avoir édulcoré de la sorte.

La France fait peu de films de ce genre et tâtonne encore beaucoup ! Il n’y à qu’à voir Merlin ! Quand les Anglais ont Colin Morgan, nous on a Gérard Jugnot

Mais c’est un début. Pour une fois qu’on nous propose autre chose ! La morale du film est proche de celle du Bout du Monde: un jeune garçon qui surmonte à la fois une peur et un deuil.

Un film en demi-teinte qui avait plus de potentiel qu’on pourrait le croire ! À quand un vrai film de magie qui ne tombe pas dans la comédie franchouillarde ?

 

La Mécanique du Coeur: le film

Enfin ! Après avoir adoré le livre, il était logique que je visionne enfin le film ! En plus, c’est l’animation parfaite pour démarrer l’automne !

Résumé :

Édimbourg 1874. Jack naît le jour le plus froid du monde et son cœur en reste gelé. Le Docteur Madeleine le sauve en remplaçant son cœur défectueux par une horloge mécanique. Il survivra avec ce bricolage magique à condition de respecter 3 lois: premièrement ne pas toucher à ses aiguilles, deuxièmement maîtriser sa colère et surtout ne jamais Ô grand jamais, tomber amoureux. Sa rencontre avec Miss Acacia, une petite chanteuse de rue, va précipiter la cadence de ses aiguilles. Prêt à tout pour la retrouver, Jack se lance tel un Don Quichotte dans une quête amoureuse qui le mènera des lochs écossais, à Paris jusqu’aux portes de l’Andalousie…

Mon avis:

Wahouh ! Quelle magnifique animation ! Un graphisme entre Tim Burton et Benjamin Lacombe et une histoire que j’ai adoré redécouvrir. 

Malgré sa poésie, ce film n’en est pas moins un conte noir !

Jack naît dans des conditions difficiles, le jour le plus froid du monde. Il est élevé par Madeleine, une sage-femme rejetée par le village pour « sorcellerie ». Une mère adoptive particulièrement anxieuse ! J’ai aimée cette femme en mal d’enfants, qui trouve en Jack une nouvelle joie de vivre !

Il y a aussi Arthur, un vieil homme qui a un xylophone le long de sa colonne vertébrale, deux soeur adoptives un peu trop bavardes et une maison biscornue à l’écart du village d’Edimbourg.

Toutefois, Jack commence à s’ennuyer et voudrait enfin voir le monde extérieur !  Mais problème: son coeur-horloge fait beaucoup trop de bruit. La moindre émotion fait sortir le coucou de sa boîte.

Lors de sa première sortie à 14 ans, voilà qu’il brise la règle la plus importante pour la santé de son coeur: il tombe amoureux.

Alors, je n’irait pas plus loin dans l’intrigue. Je dirais seulement que l’histoire est bien mieux mise en valeur en images qu’en simple livre !

Les décors sont magnifiques ! Du froid polaire dEdimbourg à la chaleur de lAndalousie, l’histoire se déploie comme un oiseau! On plonge tête première dans la tête de Jack et ses aspirations, au son rock déglingué de Dyonisos !

Entre chocs mécaniques et cauchemar scolaire, notre petit Jack s’accroche à son rêve: revoir Miss Acacia, la jolie chanteuse bigleuse qui l’a envoûté. Il fera des rencontres inattendues, terrifiantes ou amicales, douces ou amères…

Le doublage est de très bonne qualité côté casting : c’est Mathias Malzieu lui-même qui fait le rôle principal. Pas étonnant, le petit Jack est son portrait craché ! Olivia Ruiz incarne la jolie Miss Acacia, ce qui lui va à ravir pour le chant ! Mais c’est Samantha Barks qui fait les dialogues !  Les deux voix étant similaires « je n’y ai vu que du feu ! » 😉

Si j’ai aussi apprécié le mythique Jean Rochefort, (qui tiens le rôle du premier « cinéaste » de notre temps : Georges Méliès), ma plus grande surprise est la voix de Joe, incarné par Grand Corps Malade.

Sa voix profonde était parfaite pour ce tyran de récré, qui cache sa fiancée comme un trésor. Mais ce personnage s’est avéré plus…chevaleresque que prévu !

Bref, j’ai adoré’histoire, le côté comédie musicale façon conte pour adulte… Tout m’a séduite !

Une adaptation très réussie dont j’ai beaucoup aimé retrouver les personnages !

 

Hilda (série Netflix)

Hello à tous ! Aujourd’hui, place à un adorable coup de coeur Netflix ! J’ai pour le coup très envie de me lire la série BD !

Résumé:

« La série se déroule dans un univers qui ressemble à la Norvège de la fin du xxe siècle, mêlant humains normaux et créatures fantastiques, et suit les aventures de Hilda, une petite fille aux cheveux bleus, qui a passé toute sa vie dans une vallée isolée avec sa mère et son fidèle Twig (Brindille en français), un animal de compagnie tenant à la fois du renard et du daim (un « renard-cerf »). Après un conflit avec les créatures magiques vivant autour de la maison, elles déménagent à la ville locale de Trollbourg, accompagnées du petit elfe, Alfur, avec qui Hilda s’est liée d’amitié. Alors qu’Hilda était réticente à vivre en ville, elle se fait bientôt deux nouveaux amis, Frida et David, et découvre que Trollbourg pourrait se révéler plus intéressante à explorer qu’elle ne pensait initialement. »

 

Mon avis:

Quelle merveille ! L’une des plus belles animation que j’ai pu voir depuis Gravity Falls !

À l’origine, Hilda est une série de BD de Luke Pearson, paru en 2013. C’est un univers plein de poésie, d’amitié, de douceur et d’aventure !

Hilda vit dans une maison en pleine forêt avec sa mère. Intrépide, elle adore côtoyer les créatures elfiques, du troll géant, au petit peuple de lutins. Mais voilà, suite à un conflit de territoire avec le « petit peuple », sa maison est détruite. Hilda et sa mère sont donc contraintes de s’installer dans la ville la plus proche, Trollbourg.

Une épreuve, pour la petite fille, plus à l’aise avec les Trolls que ses congénères humains. 

Son intégration se fait grâce au club de scouts de Trollbourg, les Moineaux, où elle rencontrera ses deux amis: Frida, la bonne élève et David un petit garçon peureux. Tous les trois vont vivre de folles aventures, car le monde elfique fait des siennes même au sein d’une petite ville !

Si Gravity Falls prônait le mystère et la science-fiction, le monde d’Hilda est plus dans le conte scandinave avec un corbeau géant, un renard-cerf blanc, des trolls, des lieux plus ou moins interdits… Les dessins sont magnifiques, avec des couleurs tendres et un trait très doux. 

J’ai adoré découvrir ce bel univers et son héroïne attachante.

Une série doudou à savourer avec un thé au un chocolat chaud !

 

Harry Potter et l’Enfant Maudit ( John Tiffany)

Hello à tous ! Aujourd’hui, une petite chronique littéraire d’un livre qui traînassait depuis bien trop longtemps dans ma bibliothèque !

Résumé:

« Être Harry Potter n’a jamais été facile et ne l’est pas davantage depuis qu’il est un employé surmené du Ministère de la Magie, marié et père de trois enfants. Tandis que Harry se débat avec un passé qui refuse de le laisser en paix, son plus jeune fils, Albus, doit lutter avec le poids d’un héritage familial dont il n’a jamais voulu.
Le destin vient fusionner passé et présent. Père et fils se retrouvent face à une dure vérité : parfois, les ténèbres surviennent des endroits les plus inattendus. »

Mon avis:

Enfin la suite de l’épilogue ! Et sans être époustouflante, cette fiction m’a agréablement divertie. Comme beaucoup, j’ai eu l’impression de lire une fanfiction… ce qui n’enlève en rien à sa qualité !

Dix-neuf ans après la mort de Voldemort, Harry travaille au ministère de la magie, Ron s’occupe de la boutique de son frère et Hermione est carrément devenue ministre  !

Mais un événement grave couve au sein du ministère: un Retourneur de Temps a disparu !

Les cicatrices du passé s’ouvrent, en particulier la mort tragique de Cédric Diggory. En effet, son père voudrait carrément faire ressusciter son fils !

Pire, voilà que la cicatrice de Harry recommence à lui faire mal ! Comme si Harry n’avait pas assez à faire entre ses affaires au ministère et sa relation conflictuelle avec Albus. 

De plus, son fils, se retrouvant à Serpentard, devient ami avec …Scorpius Malfoy, le fils de Draco ! Et tous les deux refusent de devenir ennemis, comme leurs parents ! Leur amitié transcende toute l’histoire et ça m’a fait chaud au coeur !

Le couple Ron/Hermione est beaucoup plus en retrait mais présent ! En revanche, l’éternelle rivalité Harry/Draco m’a tapé sur le système ! Grandissez un peu les gars ! D’ailleurs, j’ai beaucoup aimé l’évolution de Draco, plus mélancolique, moins dur. Le masque du rival a laissé place à un homme brisé par une enfance de guerre et débordant d’amour pour son fils. Il n’en est pas de même pour Harry, complètement dépassé par un fils qu’il ne comprend pas.

Cependant, le véritable « héro » de l’histoire… c’est le Retourneur de Temps, lui-même ! C’est une arme plus redoutable qu’une baguette magique ! Jouer avec, même avec les meilleures intentions du monde, peut faire des ravages !

C’est la belle morale que je retiendrai de cette histoire !

Côté écriture, j’ai beaucoup aimé lire en format théâtre ! C’est plus léger et surtout, on rentre mieux dans l’action ! Ça change des romans, dont les longues descriptions ont souvent freiné ma lecture !

Une suite originale dans sa forme et plutôt efficace dans le scénario ! Une pause agréable !