Les lutins statisticiens deWordPress.comont préparé le rapport annuel 2014 de ce blog.
En voici un extrait :
Le Concert Hall de l’Opéra de Sydney peut contenir 2 700 personnes. Ce blog a été vu 37 000 fois en 2014. S’il était un concert à l’Opéra de Sydney, il faudrait environ 14 spectacles pour accueillir tout le monde.
Et encore un TAG, cette fois-ci de la sympathiqueParisienne! merci beaucoup d’avoir pensé à moi !
1) Quel(les) Message/ valeurs veux-tu véhiculer à travers ton blog ?
Comme je le souligne dansma page de présentation,mon blog est avant tout un espace de détente, d’échange et de divertissement ! J’écris par plaisir, sans chercher forcément la foule de commentaires !
2) Blogues-tu de façon anonyme ou non ? Pourquoi ?
Je tiens absolument à rester anonyme. Pour moi, un blog n’est PAS un journal intime. C’est pour ça que je n’ai niFacebook, niInstragram. C’est une façon de protéger ma vie privée. Vous ne verrez donc pas de photo de moi ! Désolée !
3) Quelles sont les blogueuses qui t’inspirent ?
Je suis très éclectique : ça va du tricot à la photographie, et bien évidemment, les blogs de lecture! Parmi les blogs que je suis régulièrement:
Litteranet, tenu par Clélie Holmes, qui m’a ouverte à la littérature gothique ainsi que les mini-séries de la BBC.
Persephone et le Cheshire Cat, parce que nous avons des goûts communs: le Doctor Who, Jane Austen, Harry Potter, Indiana Jones… et que j’aime sa façon d’écrire, ponctuée de gifs très pertinents !
Et enfin, bien évidemmentMarine etKim, qui me boostent avec leur enthousiasme !
Je pourrais encore en citer plein:Plius et ses images rigolotes,Des signes et des mots,le blog très intéressant (et drôle)d’ un interprète en LSF…
4) Combien de temps te prend la rédaction d’un article ?
Ça dépend: certains peuvent me prendre à peine 30 secondes ( les « images du jour » par exemple), d’autres plusieurs mois !!!
5) Combien de temps te consacres-tu à ton blog par jour (réponses aux commentaires etc) ?
Un peu trop longtemps en ce moment ! je crois qu’il faut que je pense sérieusement à faire une pause !!!
6) Quel est ton moment préféré pour écrire ?
J’aime écrire en période calme: en général, soit en début d’après-midi, soit le matin. Très rarement, le soir !
7) Quel est l’article que tu as réussi et dont tu es fière ?
Tous mes article « historiques »: notamment celui surla langue des signes(à ce propos, je conseille fortementLe cri de la mouetted’Emmanuelle Laborit, dont la fin contient un petit rappel sur l’histoire trop méconnue de cette langue ! Et il faut absolument que je regarde la famille Bélier !!!!
8) Quel est le commentaire que tu as reçu qui t’as fait le plus plaisir ?
TOUS ! Et même s’il y a juste l’étoile « j’aime » qui a été cliquée! Ça veut dire que l’article a au moins retenu l’attention !
Oh ! Oh ! Oh ! Et bien ça y est : la boucle est bouclée !
J’ai pu enfin regarder le premier épisode de Noël avec le nouveau Docteur !!!
Petit résumé:
Clara se réveille au son du Père Noël sur le toit. Après qu’elle essaie de nier son existence, elle est interrompue par le Docteur qui l’emmène dans le TARDIS.
Pendant ce temps, au pôle Nord, un groupe de scientifiques travaille à essayer de sauver leur personnel d’autres membres de la base, qui ont été parasités par des créatures en forme de crabe. Le Docteur et Clara arrivent et sont aussitôt attaqués par les crabes, sauvés in extremis par le Père Noël. Le Docteur réalise alors que ces créatures sont des crabes-rêves, des extraterrestres qui induisent un état de rêve tout en dévorant le cerveau d’une personne. Clara est victime d’une de ces créatures et se retrouve dans un monde de rêve avec Danny Pink avant que le Docteur ne se laisse parasiter par un crabe pour entrer dans son monde et la réveiller… Mais les choses se compliquent encore: car un rêve peut en cacher un autre…plus effrayant encore !
Mon avis:
Les épisodes de Noël du Doctor Who ont toujours été un brin flippants ! Entre les bonhommes de neiges au sourires de Cheshire Cat, des boîtes magiques contenant un univers entier,ou encore des invasions parasites extra-terrestre qui transforme des humains en zombie ! Pour cet épisode, le Docteur et Clara se retrouvent coincés dans un cauchemar collectif avec des crabes aliens suceurs de cerveau, un Père Noël bad-ass, des lutins ironiques et une équipe de scientifiques déboussolée !
J’ai adoré le Père Noël, qui utilise des mandarines comme des grenades, possède un traineau « plus grand à l’intérieur », est assez sarcastique, se moquant aussi de la façon dont le Docteur n’explique jamais rien clairement. C’est une version très rock and roll, rien à voir avec le gentil barbu de nos téléfilms habituels, ça fait du bien !
Lorsque Clara se fait attaquée par le parasite, elle se retrouve dans un rêve idyllique avec son Danny chéri, et elle a beau savoir que c’est un rêve qui risque de la tuer, elle a du mal à se résoudre à en sortir ! L’épisode alterne les moment de bonheur et de tension psychologique très bien dosée ! L’intrigue est certes basique, mais s’enchaîne bien ! C’est aussi l’épisode où Clara fait définitivement le deuil de Danny et où notre Docteur s’autorise enfin un peu d’affection et de bonheur ! Et il en a bien besoin !
Pour ce week-end, j’ai décidé de vous parler d’un film aussi magnifique que méconnu:Snow CakedeMarc Evans
Résumé:
En plein hiver, àWawadans l’Ontario,Alex, un quinquagénaire britannique plutôt introverti, frappe à la porte deLinda, une femme autiste. Dans un accident de voiture, Alexa tuéVivienne, fille unique de Linda, qu’il avait prise en stop. Tourmenté par un terrible sentiment de culpabilité, Alexaccepte de s’installer chez Lindaet de partager quatre jours de son univers étrange et fantasque. Il en sortira transformé…
Mon avis:
Magique et bouleversant. Ce film est l’un de ceux qui vous marquent, vous secouent de l’intérieur ! Un film sur l’autisme, mais surtout, sur la culpabilité.Alex, (Alan Rickman, épatant de sobriété) rencontreVivienne, (Emily Hampshire, qui du peu qu’elle apparaît, réussit une touchante interprétation!) et décide de la ramener chez elle en voiture. Entre eux, une certaine complicité se noue. Alexest touché par la caractère espiègle et franc de la jeune fille.
Et c’est là que le drame arrive. Un camion qui se met en travers de la route. Un coup de frein brutal.. Sonné, mais indemne, Alex réussit à s’extraire. Mais la jeuneVivienne n’a pas eu cette chance. Hagard, sous le choc, il prend néanmoins une décision très courageuse: aller lui même annoncer la nouvelle à la famille de la jeune fille et s’excuser par la même occasion.
Sa rencontre avec Linda(Sigourney Weaver, bluffante) est très déroutante, puisque celle-ci est pratiquement sans réaction à l’annonce de l’accident. C’estMaggie, la voisine deLinda, qui lui explique la particularité de cette mère de famille: l’autisme. Maggie, interprétée par la trop rare Carrie-Anne Moss, que j’ai trouvée particulièrement en beauté dans ce film !
Snow Cakefourmille de petits détails que reconnaitront instantanément toutes les personnes confrontées à l’autisme : stéréotypies, besoin de contention, alignements d’objets, rituels, « pétages de plombs » pour des faits apparemment anodins, insensibilité apparente… Alex, face àLindaet tous ses comportements étranges, apprendra non seulement à la respecter (ce qu’il fait dès le début. Il n’est pas un monstre, mais simplement un personnage blessé par la vie) mais également à l’apprécier, voire à l’aimer à la manière d’un grand frère.
Autre personnage important du film, Maggie, voisine de Linda. Elle est un peu comme un ballon d’oxygène qui permet à Alex de reprendre pied dans la vie « normale » de temps à autres au cours de son séjour. Elle va redonner à Alex confiance en lui en tant qu’homme. Personnage qui s’avoue elle-même égoïste, elle a en fait beaucoup à donner, et elle aussi se rapprochera de Linda. Toutes deux sont, chacune à sa façon, des « parias » de ce microcosme provincial, Linda par son handicap, Maggie par sa façon de vivre. Et aucune des deux ne le vit vraiment mal. Elles acceptent ce fait, avec chacune sa philosophie propre.
Enfin la troisième réussite de ce film est le décor. Comme pour contraster avec l’état d’esprit sombre et tourmenté de notre héro, les paysages aspirent au calme: un paradis blanc digne de la chanson de Michel Berger, avec de la belle neige immaculée, celle-là même qui a donné le titre du film.
Une petite perle de cinéma, et la plus belle performance d’un handicapé depuis Gilbert Grape! À découvrir, vraiment !
Un grand moment de poésie avec cette très jolie chanson de Little
Mes humeurs s’obtinent à tourner sans moi Tant pis je ferai sans la langue de bois Le bruit des autres ne me dérange pas S’ils arrêtent leurs belles légendes Et prennent la peine de marcher droit
Vole vole vole Petite coccinelle Laisse-moi compter tes vies sur tes ailes Toi qui n’as jamais vu ta colère dis-moi Dis-moi comment faire comme toi
Mes idées fusent de tous les côtés Mais je les refuse à longueur de journée Rien que des bêtises et la même hantise De céder aux gourmandises Que me met la vie sous le nez
Vole vole vole Petite coccinelle Laisse-moi compter tes vies sur tes ailes Toi qui n’as jamais vu ta colère dis-moi Dis-moi comment faire comme toi
Et moi qui me croyais si paradoxale Je me sens vexée quand on me dit normale Malgré les efforts pour ignorer leurs dires De m’être préparée au pire N’a peut-être rien arrangé
Vole vole vole Petite coccinelle Laisse-moi m’accrocher au bout de tes ailes Toi qui n’as jamais vu ta colère dis-moi Dis-moi comment faire comme toi Dis-moi comment faire comme toi
Ce qu’il y a bien en périodes de fête, c’est qu’on a l’occasion de redécouvrir de grands classiques de cinéma ! Cette semaine, j’ai décidé de vous parler de Peau d’ânedeJacques Demy.
Résumé:
Un roi, jouissant d’un grand prestige auprès de ses sujets et voisins, est marié à la plus belle et vertueuse des reines. Celle-ci, frappée par la maladie, lui fait promettre sur son lit de mort de ne prendre comme nouvelle épouse qu’une femme plus belle qu’elle, la raison d’État exigeant un descendant mâle.
Les efforts des ministres pour trouver une princesse à la hauteur de la défunte reine restent vains, et seule la propre fille du couple royal peut se prévaloir d’une telle beauté. Malgré le risque d’inceste que comporte ce projet, le roi décide de l’épouser, encouragé en cela par ses ministres et conseillers.
La princesse s’effraie d’un tel dessein, mais hésite en même temps, sensible à l’insistance de son père et l’amour qu’elle lui porte. Sa marraine, la fée des Lilas, lui apprend à distinguer les amours : si on aime ses parents, on ne les épouse pas. Conseillée par cette dernière, la princesse tente de dissuader son père sans le contredire, en lui demandant tour à tour la réalisation de trois robes d’une extrême complexité : l’une couleur du temps, l’autre couleur de lune, la dernière couleur du soleil. En dépit du coût du défi et des brefs délais accordés, le roi accède à sa requête. La princesse se résout alors à demander à son père un immense sacrifice : la peau de son âne dont les déjections surnaturelles procurent au roi pierres précieuses et pièces d’or. Le roi accepte.
Ne pouvant plus se dérober, la princesse désespérée s’enfuit du château familial, cachée sous la peau de l’âne, et munie de la baguette prêtée par sa marraine la fée.
Mon avis:
L’esthétique très colorée du film, nouvelle pour l’époque, s’inspire des mouvementspop art etpeace and love,queJacques Demyavait découverts aux États-Unis où il venait de passer deux ans pour tourner son filmModel Shop. L’affiche dessinée parJim Léon en est un parfait exemple.
Pour l’univers du château bleu, où le végétal envahit l’architecture et où les statues sont vivantes, le réalisateur puise son influence dans l’univers du cinéma de Cocteau,notammentLa Belle et la Bête(1946). Le choix deJean Marais pour le rôle du roi bleu est d’ailleurs lié à cette référence !
Un très joli film, avec un festival de jolies robes, et un conte plus engagé qu’il n’y paraît: la différence entre l’amour filial et celui entre adultes, la peau de l’âne, symbolisant la honte de la jeune fille pour ce mariage incestueux… La découverte du véritable Amour, avec le prince et enfin, le Pardon du père.
Je continue ce défi avec quelques sorties à faire dans ma ville: Évian et ses alentours !
1) Tout d’abord, l’incontournableVillage des Flottins, que je visite chaque année avec une joie enfantine, fascinée par ces créatures géantes en bois flottés: loups, lutins, cabanes de hobbit, manège qui se met en route quand on joue du piano, grands oiseaux genre cygne ou autruches, bref, ma ville change complètement d’ambiance, surtout de nuit c’est juste magique ! Cette exposition extérieure est totalement gratuite et demande un travail énorme de beaucoup d’associations ! Le thème rejoint celui d’une autre exposition.
2) En effet, pour cette fin d’année, le palais Lumière d’Évians’octroie un bien joli thème :Les contes de fées! Sympa comme affiche, non? Elle complète joliment celle des flottins, je trouve !
L’exposition aura lieu du 6 décembre 2014 au 6 avril 2015 ! J’ai bien l’intention d’aller la voir !
Quittons Évian pour sa ville voisine, Thonon-les bains,qui elle aussi, se met au couleurs de Nöel: chaque année, une patinoire est mise à disposition des enfants.
3) Un Atelier Chocolat est proposé par la médiathèque, histoire de ramener de petites friandises fait-maison !
4) Dans un tout autre registre, de nombreuxspectacles d’Opéraauront lieu : Casse-Noisettes, Barbe Bleue, les contes d‘Hoffman…
Il existe aussi un joli recueil de conte de fées se déroulant dans ma région, écrit par Bernard Clavel:Légendes du Léman(édition Poche Jeunesse). Je le conseille vivement !
Hélas, on ne peut pas vraiment dire que la neige soit au rendez-vous cette année ! Dommage ! Je me souviens d’un hiver glacial où il y avait du givre et de la glace jusque dans les arbres !!! On s’était cru dans un conte de fée ! Petite galerieici
Enfin, pour ceux qui viendrait par chez moi, et qui tomberaient sur des personnes parlant le patois, voici un petit lexiquepour s’y retrouver ! Allez ! A’RVI PA !
Cet article a été écrit dans le cadre du Challenge Il était deux fois Noël
Un monstre à Parisest un long métrage d’animation français réalisé parBibo Bergeron, sorti en France le 12 octobre 2011.
L’intrigue se déroule à Paris durant la crue de la Seine de 1910. Émile, un timide projectionniste de cinéma, se passionne pour le tournage de films, et est amoureux de sa collaboratrice, Maud, à qui il n’ose cependant avouer ses sentiments. Émilea pour amiRaoul, un livreur et inventeurexubérant, qui se déplace dans un tacot bardé de bricolages improbables et surnommé Catherine. Raoula pour amie d’enfanceLucille, une chanteuse de cabaret qui se produit à « L’Oiseau rare ». Lucille a du succès et sa tante fait tout pour la pousser dans les bras du préfet de policeMaynott, homme riche et puissant, mais dévoré par l’orgueil et l’ambition.
Un soir, Raoul, accompagné par Émile, va faire une livraison dans la serre duJardin des Plantes. En l’absence du professeur qui y travaille, l’endroit est gardé par son adjoint, un singe savant nommé Charles. Ravi de cette occasion de fouiner dans le laboratoire du professeur,Raoul déclenchedes incidents étranges : une mixture donne à Charles une voix de chanteur d’opéra, un engrais instable fait pousser en un clin d’œil un tournesol géant sous la caméra d’Émile. Mais une explosion se produit soudain. Tout le monde en sort indemne, mais Émile est persuadé d’avoir entrevu une créature monstrueuse. Quelques jours après, en lisant les témoignages terrifiés rapportés par les journaux, les deux amis comprennent avec effroi que la créature existe bien, et qu’ils sont responsables de son apparition.
Le préfet Maynott confie l’enquête au policier Pâté, mais entretient à dessein la peur au sein de la population afin de se mettre en avant comme un homme providentiel et de remporter les prochaines élections municipales. Dans le même temps, il tente vainement de séduire Lucille.
Lucille,de son côté, cherche sans succès un nouveau musicien pour l’assister. Un soir, elle refuse la candidature d’Albert, qui est serveur à« L’Oiseau rare ». Albert, sortant par la porte de derrière, entrevoit le monstre et tente de se réfugier de nouveau à l’intérieur du cabaret, puis s’enfuit terrifié. Lucille, en lui ouvrant la porte, voit le monstre dissimulé par un manteau et un chapeau abandonnés par un passant horrifié. En apercevant sa véritable apparence, Lucillea d’abord une réaction d’horreur ; puis elle entend le monstre chanter et se rend compte non seulement qu’il n’estpas dangereux mais aussi qu’il possède une voix extraordinaire. Elle accueille alors dans sa loge le monstre, et le baptise Francœur, du nom de la rue où elle l’a trouvé. Francœurn’est autre qu’une puce que l’engrais instable du laboratoire a fait grandir jusqu’à une taille humaine. Le « monstre » se retrouve par hasard sur scène au moment du numéro deLucille, mais il se révèle être un chanteur et un musicien extraordinaire et le duo remporte un succès éclatant.
Une bien jolie fable, colorée et pleine d’entrain !Vanessa Paradis donne son joli brin de voix à la chanteuse Lucille, apportant peps et fraîcheur au personnage. Francoeur,le « monstre » est incarné par Mathieu Chédid; il y a d’ailleurs un joli clin d’oeil à son nom de scène (M) lors de son essayage de costume ! Quant àRaoul, c’estGad Elmalehqui lui donne sa voix. J’ai bien aimé ce personnage, assez maladroit derrière son côté frimeur !
Si le graphisme des personnages aurait pu être plus travaillé, j’ai en revanche adoré les décor: un Paris de carte postale vintage, très sympa ! L’histoire est au final touchante, avec beaucoup d’humour (le clin d’oeil à Bourvil m’a particulièrement fait rire !)
Bref, une animation toute mignonne, certes pas de nöel, mais bien divertissante ! À voir en famille !
En tout cas, pas la cohue des magasins, ou la grosse dégoulinade de foie gras, dinde et autres sucrerie ! Rien que de voir cet étalage me lève le coeur !
Pas de musique tonitruantes ou de films à la guimauve écoeurants.
Mon Noël idéal serait de faire un bon en arrière dans le temps…
Le temps où une simple orange et un sac de noix étaient les meilleures gourmandises…
Où la neige émerveillait au lieu de faire râler les gens…
Où la messe de minuit existait encore…
et où les soirées se passaient au coin du feu, à écouter les histoires des Noëls d’antan par nos aïeux.
à chanter des cantiques, et manger sans s’éclater le ventre.
Un Noel où personne n’aurait le droit d’être seul.
Et où tout le monde serait à égalité: pas de cadeaux coûteux, juste la joie d’être ensemble.