Le test du mercredi: Etes-vous Geek?

J’ai fait le test et voilà mon « score »! Est-ce que je dois m’inquiéter  O_O ???? Je m’attendais à beaucoup moins que ça quand même . Il ne me manque que le test « Otaku »pour comparer ! Pas étonnant que je sois fan de la Websérie « Hello Geekette »! La contamination est en marche. La preuve , c’est que c’est mon 2ème post de la journée !

36% Geek

Printemps sous la pluie

J’avais  envie de compléter ma collection : en ce moment je fais une fixation sur les parapluies Arc-En-Ciel. Peut être à cause du temps changeant de ce début de printemps! La verdure renaît, c’est toujours aussi beau à voir! et c’est grâce à la pluie tout ça, quand même! sans elle, pas de vie…et pas d’arc-en-ciel non plus ! j’aime beaucoup ce genre de photo paisible. Dans un autre genre j’aime aussi l’originalité sobre  de celle-ci:

Qu-est-ce que j’aimerais avoir un parapluie qui repousse les idées noires! Pour pouvoir danser et chanter sous la pluie façon Gene Kelly ! Je ne résiste pas à mettre cette chanson mythique !

 J’avais également beaucoup aimé cette petite scène de parapluie dans l’excellent Pleasantville de Gary Ross !  Ce film donne jolie réflection sur le « manque de couleur » que nous avons parfois dans notre vie. Le scénario est très original et les 2 héros principaux sont  attachants. Mention spéciale à Tobey Maguire dans la peau d’un ado renfermé qui , une fois pris au piège de sa série fétiche apprend à s’émanciper au contact des autres, transformant ( au sens propre comme au figuré) leur univers. Magnifique Bande Originale aussi, qui redonne envie de rétro et de swing ! Vive le printemps ! Avec ou sans parapluie!

ils nous ont schtroumpfé les schtroumpfs en 3D :§

J’avoue ne pas y avoir cru: les petits bonshommes bleus débarquent cet été en 3D!  Là, je m’insurge , nom d’une schtroumpfette à lunettes,  pas touche au dessin animé de ma petite enfance! On dirait des nains de jardin !!! Et ça se passe en ville en plus. Je sens que cette nouvelle version va en dérouter plus d’un !!!

 

Je suis vraiment très perplexe quant au succès de ce remake. Mais qui sait, on n’est jamais à l’abri d’une bonne surprise. Sur ce , je m’en vais relire ma BD des « Schtroumpfs et le Schtroumpf robot » !

Parce que…j’ai trouvé cette photo sympa et que…

…je commence à saturer des remix-massacres-commerciaux qui innondent ma radio en ce moment:(entre le Dirty-Beat des Black Eye Peas et la lambada version J-Lo, j’ai franchement honte!). Parce que j’ai envie de musique qui swingue sans me donner la migraine à cause des basses… Et parce que la belle musique existe encore tout de même, voici ma selection « bonne humeur » de cette fin de semaine:

  • Tout d’abord LA grosse claque musicale française du moment: Madjo et le génial  EPK Trapdoor In a Wall ! ça c’est le la musique !!! Et en plus c’est coloré et poétique. Tout ce que j’aime.
  • Yaël Naïm n’est pas en reste avec le tout aussi optimiste « Go to the River », qui est à la fois original et drôle. Les danseurs sont excellents et je trouve que c’est une très belle femme en plus !
  • La superbe Florence & The Machine, dont j’aime beaucoup le clip « Rabbit Heart (Raise It Up) » , que je trouve lumineux , romantique, festif et qui fait réfléchir à la fin (rien que ça!). J’aime beaucoup la chanson « Howl » aussi !
  • HURTS, la bonne surprise de la fin 2010 qui marque le retour d’une électro sensible et mélodieuse. Sans parler des clips originaux et esthétiques.
  • « Marchin On » de One Republic, qui s’améliore beaucoup coté texte. ça change de « too late for appologize » que j’ai eu en overdose! J’ai choisi cette vidéo de Harry Potter car c’est une version plus accoustique que l’originale
  • Et parce que je n’ai pas encore parlé de cette icône nippone (gomenasaï* aux connaisseurs!) la magnifique Kokia et son morceau Ai no Melody ( de l’animé « Origine »  de Keiichi Sugiyama sorti en 2006.) c’est moins rythmé mais beaucoup plus poétique ! je n’ai jamais vu le film par contre. Je vais réparer ça, parce que la bande annonce est juste impressionnante !!!

D’où vient…la Doc Martens?

Tout le monde connait ces chaussures sous ce nom mythique. Mais qu’en est -t-il de l’homme? Qui pouvait bien être ce Doc Martens? Un petit tour chez mon ami Google, et voici ce que j’ai trouvé:

Le Dr Klaus Martens est allemand.  En 1946, alors en pleine convalescence des suites d’une blessure qu’il s’est fait à ski, met au point, avec son ami l’ingénieur Herbert Funck, une chaussure pour faciliter ses déplacements. C’est ainsi que voit le jour la première chaussure montée sur coussin d’air et à usage avant tout orthopédique[1].

Le procédé, novateur pour l’époque, de soudure à chaud permet de créer une cavité à l’intérieur de la semelle : le premier coussin d’air développé sur une chaussure est né. Mises en vente dans un premier temps sur le marché allemand, ces chaussures sur coussin d’air attirent alors principalement les sexagénaires ayant des problèmes de pieds. Mais cette invention va vite connaître un succès fulgurant, si bien qu’un brevet est déposé. En moins de deux ans, les « Dr. Maertens » sont commercialisées dans l’Europe entière.

En 1959, le fabricant de chaussures anglais Bill Griggs obtient la licence exclusive de production de ces chaussures et décide d’angliciser le nom, la marque devient ainsi « Dr. Martens ». Il entreprend alors quelques modifications du concept originel airwair avant le lancement des ventes. Griggs souhaitait en effet percer le marché du workwear en offrant davantage de confort.

Description:

Des détails deviendront les signes distinctifs de la marque : la semelle cousue façon Goodyear, la semelle rainurée et translucide avec le système de coussin d’air visible, la languette noire au talon avec l’inscription jaune « airwair with Boucing Soles », l’empreinte laissée par la semelle, des coutures jaunes, un support de voute plantaire et coussinet de confort à l’avant du pied, une semelle en cuir résistante. Tous les matériaux sont traités pour être imperméables aux huiles, graisses et acides.

L’innovation ce sont les semelles composée d’une structure en nid d’abeille et d’un coussin d’air positionné sous l’intégralité de la chaussure ce qui isole thermiquement le pied du sol, et permet une bonne absorption des ondes de choc ce qui est facteur de confort. La construction Goodyear permet d’assembler la trépointe, la tige et la semelle première avec une unique couture, le robuste cousu Goodyear. Cette fabrication traditionnelle se retrouve sur tous les modèles classiques « Originals de Dr. Martens ».

Le 1er avril 1960, la première paire de Dr. Martens, la fameuse bottine huit trous de couleur rouge cerise avec une semelle sur coussin d’air sort des usines de Wollaston, à côté de Northampton. Elle est baptisée pour l’occasion « 1.4.60 ».

À l’origine portée par le milieu ouvrier et les agents de nombreux services publics anglais, la chaussure Dr. Martens est adoptée dans les années 1970 et 1980 par l’ensemble des mouvements contestataires de la contre-culture punk mais aussi de la mouvance des skinheadségalement désignés par le terme « boot boys » dans les années 1970 à cause de leurs chaussures montantes). La « 1.4.60 » est devenue une véritable icône pour des groupes comme les Who, the Clash, the Cure, les Red Hot Chili Peppers. Continuant de soutenir les figures emblématiques de la musique rock et les jeunes artistes de la scène française et internationale, Dr. Martens ne néglige pas pour autant son implication dans l’univers de la mode. Dans le milieu des années 1990, 50 % des ventes de Dr. Martens concernaient les femmes.

En 1996, Alexis Bertrand a remis sous le feu des projecteurs la fameuse Dr. Martens lie de vin qui fit de lui un homme aux innombrables succès.

En 2000, pour le quarantième anniversaire de la marque, Dr. Martens s’est associée à des créateurs du monde entier pour la réalisation de pièces uniques de « 1.4.60 » personnalisées par Vivienne Westwood, Paul Smith, Jean-Paul Gaultier [2],[3]. Puis, 2006 a été marquée par la création de modèles « 1.4.60 » personnalisés à l’effigie de personnalités symbolisant l’esprit Doc, à l’image de Johnny Depp, John Galliano, Tony Regazzoni, Gwen Stefani, Kate Moss, Scarlett Johansson, Raphaël Raynaud, Sonia Rykiel. En 2007, Dr. Martens réalise une collection exclusive en partenariat avec le créateur japonais Yohji Yamamoto[4].

En mai 2007, l’agence de communication Doc Martens conçoit une publicité où figurent les icônes du rock ayant porté la célèbre chaussure. Kurt Cobain, Sid Vicious et Joey Ramone[5] sont mis en scène dans un paradis artificiel, chaussés de huit-trous. Blâmée par Courtney Love, la campagne a finalement été annulée et le concepteur remercié[6].

Dr. Martens a su se positionner comme une marque transgénérationnelle en fidélisant une clientèle de longue date et en attirant de nouveaux clients, toutes générations confondues. La chaussure utilitaire des débuts est devenue au fil des décennies un modèle emblématique et identitaire.

La totalité des modèles Dr. Martens était produite en Angleterre, dans les usines de Wollaston mais en 2003, la majeure partie de la production a été délocalisée en Chine et en Thaïlande, et depuis peu au Vietnam et en Indonésie. Seules 1 000 paires par semaine, la ligne Made In England, sont encore produites dans l’usine anglaise d’origine de Wollaston.


Aujourd’hui, Dr.Martens est présent partout dans le monde et dispose de trois boutiques en nom propre à Londres, Portland et Paris

Coups de coeur du week end

Petit florilège des jolies choses trouvées sur internet qui me remontent le moral dans cette actualité troublée et morose:

  1. Une jolie inititiative à la Nouvelle Orléan: un mur collectif ou chacun peut faire la liste des choses à faire…avant de mourir.
  2. La vie rêvée d’une fée dont j’aime beaucoup les petites chroniques et le style d’écriture. En plus, on peut voter pour de jolis garçons, ce qui n’est pas désagréable !
  3. Le très joli projet du forum CFSL pour venir en aide à nos amis japonais. Les dessins sont tous  superbes!  Mais allez savoir pourquoi, j’ai été particulièrement touchée par la petite fille survolant un japon dévasté avec un ballon rouge.
  4. L’excellente Diglee, que j’ai vue récemment aux infos de France 3: j’adore son petit côté rétro-excentrique !
  5. Et enfin le magazine virtuel Mademoizelle , découvert grâce à Diglee justement: un site très interessant et drôle, où l’on ne parle pas que de la mode !

Pretties: Tome 2

Tout aussi prenant que le premier volet, Pretties montre l’envers du décor après l’opération: une jolie apparence, mais une tête vide sauf si celle-ci est confrontée à une émotion forte (que ce soit la peur, une forte douleur physique ou un premier baiser). D’où une volonté farouche de vouloir toujours rester ‘intense’. Tally a retrouvé son ami d’enfance Perris…et s’en est fait un nouveau: le troublant et tourmenté Zane. Il est le chef d’un groupe appelé Crims. Avec lui, Tally va remonter dans son passé d’Ugly pour découvrir la véritable raison de son opération. Au détriment de sa meilleure amie Shay qui prendra très mal le fait qu’elle se tourne vers lui…

J’avoue avoir davantage accroché à Zane qu’à David: plus tourmenté,  moins critique mais aussi à mon sens bien plus amoureux de Tally : il prend en effet un sacré risque avec elle. Quant à Shay, je la trouve de plus en plus étrange. On ne sait pas si c’est une amie ou une énemie. La relation des 2 jeunes filles est de plus en plus complexe. Il y a beaucoup d’amertume entre elles dans ce second volet. Et toujours cette réflexion sur le libre arbitre, la vie en communauté et la différence entre l’extérieur et l’intérieur d’une personne. L’univers du livre s’assombrit de pages en pages.  Je termine ce billet  avec cette fausse bande annonce qui résume assez bien l’ambiance du livre ! en plus j’y ai découvert l’excellent groupe Freezepop (que l’on entend au passage de la « soirée costumée »! certains auront sûrement reconnu l’extrait de la publicité « Ange ou Démon »de Givenchy )

Uglies: Tome 1

Tally aura bientôt 16 ans. Ce qui, dans son monde conduit à un événement particulier: une opération chirurgicale et estétique la menant de son statut social actuel, une Ugly au stade supérieur: Pretty. Tally est d’autant plus impatiente que son meilleur ami Perris a radicalement changé depuis sa « transformation ». Mais la veille de son anniversaire, Tally fait la connaissance de Shay, une Ugly de son âge, mais qui est rebelle à la fameuse Opération. Grâce à elle, Tally va découvrir que le monde est en fait bien plus vaste que la Pretty Town qu’elle admirait depuis sa fenêtre. Et que devenir Pretty n’est en fait pas si joli que ça… Mais les Agents des Specials Circumstances la rattrappent et lui proposent un terrible marché: soit elle dénonce sa nouvelle amie, soit elle restera Ugly à vie.

Depuis le temps que cette saga m’intriguait, et bien ça y est: j’ai enfin terminé ce premier tome et le bilan est assez positif. J’ai trouvé l’amitié des 2 personnages principaux très tortueuse et passionnée. Entre Tally et Shay, ça rit ou ça se met en colère, mais les eaux sont rarement tièdes !!!  Autre fait interressant: chaque Partie débute par une citation d’un écrivain, ou d’un article de journal en rapport avec le thème du livre. Une façon originale de montrer les influences de l’auteur et de faire réfléchir le lecteur.

Marina la petite sirène (version rare)

« Marina, la petite Sirène » de Tomoharu Katsumata est la première adaptation de ce conte de  Hans Christian Andersen que j’ai pu voir. Auparavant, j’avais déjà lu ce conte, paru sous le titre » La petite Ondine ». Nettement plus sombre que la version Disney, ce dessin animé est vraiment  conforme à l’histoire originale. Marina est une jolie sirène qui s’intéresse beaucoup aux humains. Lors de ses 15 ans , elle est enfin autorisée à remonter à la surface pour contempler « Le monde d’en haut ». Elle sauve un marin du naufrage . Et bien évidemment en tombe amoureuse. Mais la grand-mère de Marina lui apprend que les hommes vivent bien moins longtemps que les sirènes mais qu’ils ont une âme éternelle. La petite sirène veut, elle aussi, avoir une âme éternelle. Pour cela, lui dit sa grand-mère, elle doit se faire aimer et épouser d’un homme.

Elle finit par aller trouver la sorcière des mers, qui lui fournit une potion permettant d’avoir des jambes à la place de sa nageoire, afin de séduire le prince. La petite sirène paye cela en offrant sa voix magnifique à la sorcière. Lors de sa transformation, la douleur est terrible. Si elle échoue et que le prince en épouse une autre, à l’aube, elle se dissoudra dans l’eau.

Le prince la découvre sur la plage, est frappé par sa beauté. Il s’attache à elle, mais il pense toujours à la jeune femme de la plage qui l’aurait sauvé, et qu’il a perdu de vue. Malheureusement, la pauvre sirène ne peut plus parler ni expliquer que c’est elle qui l’a sauvé.

Un jour, le prince est contraint par son père de naviguer jusqu’au royaume d’un roi voisin pour épouser sa fille. Le prince prétend alors qu’il préfère épouser la sirène. Mais arrivé sur place, il découvre que la fille de ce roi est celle qui l’a retrouvé sur le rivage. Le prince tombe amoureux de cette princesse et annonce leur mariage.

La petite sirène a le cœur brisé, mais ses sœurs viennent à elle avec un couteau magique. Si la petite sirène frappe au cœur le prince avec ce couteau, elle redeviendra sirène à nouveau et pourra continuer sa vie sous-marine. Mais la petite sirène ne peut pas se résoudre à tuer le prince, lorsqu’il est endormi auprès de sa compagne. Elle se jette donc à la mer et se transforme en écume de mer.

Mais elle ne meurt pas et devient alors une fille des airs, un être invisible pour les humains. En s’acharnant pendant trois cents ans à faire des bonnes actions et veiller sur les hommes, elle gagnera une âme éternelle.

La morale: il ne faut pas chercher à changer sa nature…

Source Wikkipedia

Ce serait interressant qu’un cinéaste adapte fidèlement cette version, plus triste, mais tellement plus touchante . J’ai trouvé que cette histoire avait également des points commun avec « La Dernière Licorne ». Les même thèmes y sont abordés: identité, immortalité et amour impossible.

Alice, merveilles & compagnie

Je suis fascinée par les différentes facettes donnée à Alice aux pays des merveilles. Si , enfant, j’avais adoré la version Walt Disney, j’ai été  très surprise par la version Tim Burton, plus moderne et j’adore l’image adulte d’Alice, loin des clichés neuneus qui plombe souvent l’ambiance d’un film.

Les hommages musicaux sont également nombreux ( Gwen Stefani, Avril Lavigne, Kerli)  Même les japonais s’intéressent à ce personnage. Je me souviens d’un épisode de Sakura Card Captor qui rendait un hommage plutôt rigolo à ce conte. Il existe aussi un autre manga moins connu :

Alice 19th de Yū Watase. Il commence de la même manière que le conte original, mais prend une tournure innatendue en proposant une réflection très intéressante sur la rivalité et la jalousie entre 2 soeurs et sur « le pouvoir des mots ». Physiquemement, Alice ressemble beaucoup à Sakura  mise à part qu’elle a les yeux bleus, et qu’elle est plus âgée ! (voir la photo plus haut!)  Et comme elle, elle va suivre une véritable quête initiatique qui l’amènera à devenir adulte et se réconcilier avec sa soeur…et elle-même par la même occasion !

"Pauline Fossil"

Et récemment, c’est la jolie Emma Watson qui, dans un téléfilm appelé « Ballet Shoes » rendait aussi hommage à cette oeuvre à un moment donné. Un fan s’est même amusé à refaire le trailer de Tim Burton en le mélangeant à « Ballet Shoes » et « Harry Potter » : le résultat, « Hermione in Wonderland » est vraiment pas mal !!!

Emma aurait fait une très jolie Alice !